Nous avons choisi de recentrer nos interventions autour de l’environnement Microsoft Windows, qui constitue notre cœur de métier.
À ce titre, nous garantissons :
la mise en place systématique de la double authentification (2FA),
des services e-mail sécurisés, conformes au RGPD,
Dans la vidéo YouTube, Thomas Gentils, Directeur de l'identité numérique au GIE SESAM-Vitale, conclut sur un cap précis : la carte Vitale numérique sera généralisée à toute la France d’ici fin 2025.
Mais ce n’est qu’une première étape. Il énumère une feuille de route ambitieuse, qui va bien au-delà de la simple dématérialisation de la carte verte en plastique.
Accès sécurisé à tous les portails santé Cela vise une centralisation des services : télésanté, assurance maladie, droits en ligne… tout sera accessible via une identité santé unique.
Dans la transformation numérique des cabinets médicaux, on vante souvent les mérites du “cloud”, des “applications web” et du “zéro installation”.
Mais sur le terrain — en cabinet de médecine spécialisée ou de médecine générale — ces choix posent des problèmes techniques profonds, souvent invisibles pour les praticiens, mais bien réels pour ceux qui assurent la maintenance.
Ce n’est pas parce que “ça rame un peu” que le cloud est problématique.
Et ce n’est pas non plus à cause de la dépendance à Internet — ce sont des éléments visibles, compréhensibles.
Le véritable problème, c’est que le navigateur devient le cœur du logiciel métier.
Notre regard d’informaticien, plongé au cœur des structures de santé, observe trop souvent une kermesse mal organisée.
L’idée est belle : regrouper kinésithérapeutes, infirmiers, médecins généralistes, chirurgiens-dentistes sous un même toit pour offrir des soins coordonnés. Mais la réalité est tout autre.
👉 Première pierre : le coût des structures.
Sur le terrain, les professionnels de santé peinent à s’entendre sur la répartition des charges : loyer, matériel, secrétariat, logiciels, téléphonie… Rien n’est simple.
Un médecin généraliste n’a pas du tout les mêmes besoins qu’un chirurgien-dentiste. Pourquoi partager à parts égales quand les attentes sont fondamentalement différentes ?
